Enseignant chercheur
M. Sylvain Crepon
Depuis 2014 : Maître de conférences en Science politique, Faculté de droit, économie et sciences sociales / Chercheur à l’Institut de recherche juridique interdisciplinaire (IRJI - EA 7496), Université de Tours, département de droit public et sciences politiquesCoordonnées
A229
Discipline(s)
Discipline(s) enseignée(s)
Licence 1: Vie politique contemporaine (CM) / Sociologie 1 - "Grands courants de la pensée sociologique" (CM) / Sociologie 2 - "Stratification et mobilité sociale" (CM)
Licence 2: Sociologie des organisations (CM)
Licence 3: Sociologie de l'intégration et des discriminations (CM)
Master 2: Problèmes politiques contemporains (CM)
Ecole publique de journalisme de Tours (EPJT)
Master 2: Science politique - "Enquêter en milieu politique"
Thèmes de recherche
Activités / CV
Publications académiques récentes
- Article: (avec Nicolas Lebourg): « 2007-2017. From Father to Daughter : Shifts and Constants in the Le Pen Strategy », in Helen Drake, Alistair Cole, Sophie Meunier, Vincent Tiberj (eds), Developments in French Politics 6, (6th Edition), Macmillan-Red Globe Press, 2020, p. 77-92.
- Chapitre: « Le Rassemblement national et la laïcité. Retour sur des usages contradictoires », dans Valérie Amiraux, David Koussens, Charles Mercier (dir.), Nouveaux vocabulaires de la laïcité, Paris, Garnier, coll. « Classiques », 2020, p. 37-57.
- Article: « Un parti de crise. Les reconfigurations du Rassemblement national. 1972-2017 », Lendemains – Etudes comparées sur la France – Tübingen (revue bilingue allemand-français), n°172-173, avril 2019, dossier « La France en crise », p. 75-86.
- Chapitre: « Du Front national au Rassemblement national. Les reconfigurations d’un national-populisme français », dans Carine Berberi (dir.), L’union européenne face à la montée des nationalismes et des populismes, Paris, Editions Le Manuscrit, 2019, p. 37-63.
- Chapitre: « Les fronts identitaires du Front national (1972-2015) », dans Pascal Blanchard, Nicolas Bancel, Dominic Thomas (dir.), Vers la guerre des identités ? De la fracture coloniale à la révolution ultranationale, Paris, La Découverte, 2016, p. 220-230. Traduction anglaise: « Faces of the National Front (1972-2015) », The Colonial Legacy in France. Fracture, Rupture and Apartheid, Indiana University Press, 2017, p. 341-351.
- Ouvrage: avec Alexandre Dézé et Nonna Mayer (dir.) : Les faux-semblants du Front national. Sociologie d’un parti politique, Paris, Presses de Science Po, 2015, 602 p.
- Article: « Hénin-Beaumont, laboratoire du lepénisme en milieu ouvrier », Revue Espaces Marx, n° 34, 1er semestre 2014, pp. 75-88.
- Chapitre: « Une littérature postcoloniale d’extrême droite ? Réflexion sur un “braconnage” intellectuel », dans Collectif Write Back (dir.), Postcolonial studies, modes d’emploi, Lyon, Presses universitaires de Lyon, 2013, pp. 137-149.
- Ouvrage: Enquête au cœur du nouveau Front national, Paris, Nouveau monde éditions, coll. « Les enquêteurs associés », 2012, 306 p.
- Chapitre: « Militer en milieu hostile. La campagne des socialistes dans le 16e arrondissement » (co-rédaction avec Sébastien Mosbah-Natanson), dans Eric Agrikolianski, Jérôme Heurtaux, Brigitte Le Grignou (dir.), Paris en campagne. Les élections municipales de mars 2008 dans deux arrondissements parisiens, Bellecombe-en-Bauges, Editions du Croquant, coll. « champ social », 2011, pp. 209-236.
- Chapitre: « Signes religieux à l’école : pourquoi les défenseurs de la tolérance en Belgique et en France rejettent-ils le "multiculturalisme" britannique ? Réflexion sur un apparent paradoxe », dans Convictions philosophiques et religieuses et droits positifs. Actes du colloque international de Moncton (24-27 août 2008), Bruxelles, Bruyland, 2010, pp. 367-396.
- Article: « Le GRECE et la question ethnique. Du nationalisme au communautarisme », Raison présente, n°174 « Race et sciences sociales », 2e trimestre 2010, pp. 77-88.
Informations complémentaires
2016-2021 : Référent racisme et antisémitisme de l’Université de Tours, dans le cadre du réseau ESR piloté par la Conférence des présidents d’université (CPU) et le Ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche